La rubrique “Services Publics vitaux” englobe les prestations que l’Etat se doit d’assurer aux citoyens et citoyennes dans le cadre de son rôle de puissance publique.
Les notes publiées peuvent porter, notamment, sur les acteurs, lois/réglementations et politiques publiques relatives aux transports publics, à la santé ou à l’éducation.
Aujourd’hui l’établissement de la télévision tunisienne se trouve devant une épreuve de sauvetage. Etant une entreprise publique dotée d’une mission d’intérêt général, la télévision tunisienne nationale doit effectuer des gains pour améliorer ces performances et sa compétitivité, tout en respectant la transparence et les principes de la redevabilité. Cette balance est toujours envisageable. C’est là où la bonne gouvernance trouve toute sa place, et surtout, une gestion rationnelle du financement.
La Tunisie ne dispose pas d'une approche structurée pour prendre en charge les consommateurs de substances psychoactives. Les interventions sont isolées en raison d'un cadre législatif qui se caractérise par son approche répressive. Cette note politique propose une approche globale et coordonnée pour élaborer des stratégies adaptées à la réalité du problème de la consommation de drogues en Tunisie.
Ce Policy Paper a été élaboré afin de mettre en exergue le lien entre les violences économiques dont sont victimes les ouvrières agricoles et le problème du transport de ces dernières.
Ce policy brief décrit comment les transformations successives du modèle de couverture sanitaire tunisien affectent la consécration du droit à la santé d’une façon juste et équitable. Pour envisager une analyse renouvelée des politiques publiques en la matière, le texte propose d’adopter une approche centrée sur les droits, la consolidation du rôle de la CNAM dans la socialisation du risque et la refonte du système de financement de la santé.
Les politiques publiques se focalisant sur la santé mentale n’ont pas su capter les disparités socio-économiques et leur poids sur le fonctionnement social et psychologique qui est indéniablement problématique. Dans ce sens, des pistes sont à explorer : Comment qualifier le contexte actuel à un niveau psycho-social? Comment prendre en considération les besoins psychologiques de la population la plus démunie socio-économiquement ? Quelles sont les actions possibles afin de faciliter l’accessibilité et la continuité de soins psychologiques inclusifs pour les populations en situation de précarité socio-économique?
La présence migratoire précaire en Tunisie, principalement par sa labeur, est visible à l’œil nu. Les migrant.es subsaharien.n.es sont surreprésenté.e.s au sein des métiers sous-payés. Selon les chiffres officiels, parmi 53 000 étrangers présents en Tunisie, 12 000 sont originaires d’Afrique subsaharienne. Pourtant, institutionnellement, ces migrants ne sont nulle part.