La rubrique “Services Publics vitaux” englobe les prestations que l’Etat se doit d’assurer aux citoyens et citoyennes dans le cadre de son rôle de puissance publique.
Les notes publiées peuvent porter, notamment, sur les acteurs, lois/réglementations et politiques publiques relatives aux transports publics, à la santé ou à l’éducation.
Ce policy brief décrit comment les transformations successives du modèle de couverture sanitaire tunisien affectent la consécration du droit à la santé d’une façon juste et équitable. Pour envisager une analyse renouvelée des politiques publiques en la matière, le texte propose d’adopter une approche centrée sur les droits, la consolidation du rôle de la CNAM dans la socialisation du risque et la refonte du système de financement de la santé.
Les politiques publiques se focalisant sur la santé mentale n’ont pas su capter les disparités socio-économiques et leur poids sur le fonctionnement social et psychologique qui est indéniablement problématique. Dans ce sens, des pistes sont à explorer : Comment qualifier le contexte actuel à un niveau psycho-social? Comment prendre en considération les besoins psychologiques de la population la plus démunie socio-économiquement ? Quelles sont les actions possibles afin de faciliter l’accessibilité et la continuité de soins psychologiques inclusifs pour les populations en situation de précarité socio-économique?
La présence migratoire précaire en Tunisie, principalement par sa labeur, est visible à l’œil nu. Les migrant.es subsaharien.n.es sont surreprésenté.e.s au sein des métiers sous-payés. Selon les chiffres officiels, parmi 53 000 étrangers présents en Tunisie, 12 000 sont originaires d’Afrique subsaharienne. Pourtant, institutionnellement, ces migrants ne sont nulle part.
Ce Policy Brief met en lumière les droits des personnes handicapées en Tunisie, qui sont restés suspendus entre l'espoir de leur réalisation et une réalité loin de les incarner.
Depuis l'indépendance, la Tunisie a connu des périodes de réforme des politiques éducatives, face au taux d’analphabétisme élevé de la population, l'éducation s'est focalisée sur les contenus, pour s’orienter quelques années plus tard vers l'approche par objectifs, puis lorsque cette approche s'est avérée être un échec, elle a été remplacée par l’approche par compétences, dès lors les innovations dans les domaines des sciences de l'éducation ont cessé en Tunisie, mais se sont poursuivies dans le monde. La Tunisie n'a pas bénéficié de ces recherches et s'est retrouvée piégée dans d’anciennes méthodes depuis plus de deux décennies, ce qui a provoqué une chute des résultats et une baisse du taux de réussite scolaire et c’est ce qu’aborde et explique ce Policy Brief en plus de proposer des solutions afin d’éviter les lacunes du système actuel.
les établissements scolaires reflètent désormais l’instabilité de la société et de la santé mentale des citoyens. De ce fait, l’État se doit de prendre des mesures immédiates pour contrecarrer ces problèmes sur le long terme.