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6 November 2020

Yassine Ben Mohamed*, milieu gauche, s’empare du ballon de foot et marque un but. Dans les gradins, les supporters de l’équipe scandent son nom pour le féliciter “Ben Mohamed ! Ben Mohamed…

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Dépassant le quartier de Mellassine et quelques bretelles d’autoroute en chantier, il ne faut que quelques minutes à travers la campagne pour atteindre la prison de Mornaguia, la plus importante du pays, à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Tunis. Un centre de détention ordinaire, érigé au milieu des champs : hauts murs d’enceinte, barbelés, tour d’observation.

“En plus de subir cette pression, on se retrouve avec des détenus qui représentent un danger. On ne peut pas les traiter comme les autres, il faut plus de sécurité, plus de vigilance et plus de moyens”.

Session plénière à la Chambre

Dépassant le quartier de Mellassine et quelques bretelles d’autoroute en chantier, il ne faut que quelques minutes à travers la campagne pour atteindre la prison de Mornaguia, la plus importante du pays, à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Tunis. Un centre de détention ordinaire, érigé au milieu des champs : hauts murs d’enceinte, barbelés, tour d’observation.

Dépassant le quartier de Mellassine et quelques bretelles d’autoroute en chantier, il ne faut que quelques minutes à travers la campagne pour atteindre la prison de Mornaguia, la plus importante du pays, à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Tunis. Un centre de détention ordinaire, érigé au milieu des champs : hauts murs d’enceinte, barbelés, tour d’observation.

De nombreux motifs, y compris de maigres larcins de droit commun, peuvent vous faire goûter aux délices de la détention en Tunisie

Dépassant le quartier de Mellassine et quelques bretelles d’autoroute en chantier, il ne faut que quelques minutes à travers la campagne pour atteindre la prison de Mornaguia, la plus importante du pays, à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Tunis. Un centre de détention ordinaire, érigé au milieu des champs : hauts murs d’enceinte, barbelés, tour d’observation.

Dépassant le quartier de Mellassine et quelques bretelles d’autoroute en chantier, il ne faut .

De nombreux motifs, y compris de maigres larcins de droit commun, peuvent vous faire goûter aux délices de la détention en Tunisie : simple consommation de cannabis, chèque sans provision, diffamation, adultère, rapports homosexuels supposés… Les conséquences s’avèrent très concrètes : une surcharge carcérale peu propice à un encadrement adapté des détenu·es, une promiscuité entre détenu·es de droit commun et détenu·es pour terrorisme, et aucune étanchéité entre ces derniers. Badreddine Rajhi a été témoin de l’intensification de la pression depuis 2011.

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Aucune étanchéité entre ces derniers. Badreddine Rajhi a été témoin de l’intensification de la pression depuis 2011.

De nombreux motifs, y compris de maigres larcins de droit commun, peuvent vous faire goûter aux délices de la détention en Tunisie : simple consommation de cannabis, chèque sans provision, diffamation, adultère, rapports homosexuels supposés… Les conséquences s’avèrent très concrètes : une surcharge carcérale peu propice à un encadrement adapté des détenu·es, une promiscuité entre détenu·es de droit commun et détenu·es pour terrorisme, et aucune étanchéité entre ces derniers. Badreddine Rajhi a été témoin de l’intensification de la pression depuis 2011.

Dépassant le quartier de Mellassine et quelques bretelles d’autoroute en chantier, il ne faut que quelques minutes à travers la campagne pour atteindre la prison de Mornaguia, la plus importante du pays, à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Tunis. Un centre de détention ordinaire, érigé au milieu des champs : hauts murs d’enceinte, barbelés, tour d’observation.Dépassant le quartier de Mellassine et quelques bretelles d’autoroute en chantier, il ne faut que quelques minutes à travers la campagne pour atteindre la prison de Mornaguia, la plus importante du pays, à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Tunis. Un centre de détention ordinaire, érigé au milieu des champs : hauts murs d’enceinte, barbelés, tour d’observation.

Du côté du ministère de l’Industrie, cette polémique agace.

De nombreux motifs, y compris de maigres larcins de droit commun, peuvent vous faire goûter aux délices de la détention en Tunisie : simple consommation de cannabis, chèque sans provision, diffamation, adultère, rapports homosexuels supposés… Les conséquences s’avèrent très concrètes : une surcharge carcérale peu propice à un encadrement adapté des détenu·es, une promiscuité entre détenu·es de droit commun et détenu·es pour terrorisme, et aucune étanchéité entre ces derniers. Badreddine Rajhi a été témoin de l’intensification de la pression depuis 2011.

GHRIBA ET SOLIMAN, LE TOURNANT

Dépassant le quartier de Mellassine et quelques bretelles d’autoroute en chantier, il ne faut que quelques minutes à travers la campagne pour atteindre la prison de Mornaguia, la plus importante du pays, à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Tunis. Un centre de détention ordinaire, érigé au milieu des champs : hauts murs d’enceinte, barbelés, tour d’observation. Dépassant le quartier de Mellassine et quelques bretelles d’autoroute en chantier, il ne faut que quelques minutes à travers la campagne pour atteindre la prison de Mornaguia, la plus importante du pays, à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Tunis. Un centre de détention ordinaire, érigé au milieu des champs : hauts murs d’enceinte, barbelés, tour d’observation.

Tunisie : simple consommation de cannabis, chèque sans provision, diffamation, adultère, rapports homosexuels supposés… Les conséquences s’avèrent très concrètes : une surcharge carcérale peu propice à un encadrement adapté des détenu·es, une promiscuité entre détenu·es de droit commun et détenu·es pour terrorisme, et aucune étanchéité entre ces derniers. Badreddine Rajhi a été témoin de l’intensification de la pression depuis 2011.

De nombreux motifs, y compris de maigres larcins de droit commun, peuvent vous faire goûter aux délices de la détention en Tunisie : simple consommation de cannabis, chèque sans provision, diffamation, adultère, rapports homosexuels supposés… Les conséquences s’avèrent très concrètes : une surcharge carcérale peu propice à un encadrement adapté des détenu·es, une promiscuité entre détenu·es de droit commun et détenu·es pour terrorisme, et aucune étanchéité entre ces derniers. Badreddine Rajhi a été témoin de l’intensification de la pression depuis 2011.

ZONE DE PERMISTITULAIRERÉGIMECONSTITUTION GROUPE
CONTRACTEUR
PHASE DANS LE CYCLE
MINIER(PÉTROLIER)
OPERATEUR
MARINE IIISNPCNEW AGECPPSNPCEXPLORATION
KAYOWING WAHNEW AGECPPWING WAHEXPLORATION
NGOKISNPCP.E.P.ACPPPHILIAEXPLORATION
Du côté du ministère de l’Industrie, cette polémique agace.

GHRIBA ET SOLIMAN, LE TOURNANT

Dépassant le quartier de Mellassine et quelques bretelles d’autoroute en chantier, il ne faut que quelques minutes à travers la campagne pour atteindre la prison de Mornaguia, la plus importante du pays, à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Tunis. Un centre de détention ordinaire, érigé au milieu des champs : hauts murs d’enceinte, barbelés, tour d’observation. Dépassant le quartier de Mellassine et quelques bretelles d’autoroute en chantier, il ne faut que quelques minutes à travers la campagne pour atteindre la prison de Mornaguia, la plus importante du pays, à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Tunis. Un centre de détention ordinaire, érigé au milieu des champs : hauts murs d’enceinte, barbelés, tour d’observation.

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