La Tunisie ne dispose pas d'une approche structurée pour prendre en charge les consommateurs de substances psychoactives. Les interventions sont isolées en raison d'un cadre législatif qui se caractérise par son approche répressive. Cette note politique propose une approche globale et coordonnée pour élaborer des stratégies adaptées à la réalité du problème de la consommation de drogues en Tunisie.
Ce Policy Paper a été élaboré afin de mettre en exergue le lien entre les violences économiques dont sont victimes les ouvrières agricoles et le problème du transport de ces dernières.
Ce policy brief décrit la réalité du procès militaire en Tunisie, les violations des droits de l'homme dans ces procès, et évalue les lois nationales en la matière et leur conformité avec les standards internationales de justice, pour finir par un ensemble de propositions et d'alternatives pour mettre fin aux violations des droits de l'homme imposées aux justiciables civils, ainsi qu'un certain nombre de recommandations aux autorités politiques tunisiennes et aux organisations et activistes de la société civile et politique tunisienne, en tant que force de proposition.
Ce policy brief décrit comment les transformations successives du modèle de couverture sanitaire tunisien affectent la consécration du droit à la santé d’une façon juste et équitable.
Pour envisager une analyse renouvelée des politiques publiques en la matière, le texte propose d’adopter une approche centrée sur les droits, la consolidation du rôle de la CNAM dans la socialisation du risque et la refonte du système de financement de la santé.
Malgré le développement de la décentralisation à travers les collectivités locales et l’élargissement de leurs pouvoirs, le cadre juridique pour la gestion des catastrophes naturelles reste incompatible avec ces mesures et demeure centralisé, et doit être revu conformément au code des collectivités locales afin de rendre efficace son rôle dans la gestion des catastrophes naturelles.
Il semble que le projet de construction par la base incarne le changement souhaité par Kais Saied. S’il ne l’a plus mentionné depuis son investiture, le président en a brièvement parlé lors de sa campagne électorale, sans pour autant susciter de réactions de la part de la sphère politique et intellectuelle. Cela s’explique principalement par le fait que cette dernière pratique la politique de l’autruche, ignorant la possibilité qu’un tel projet puisse être mise en œuvre. C’est peut-être ce qui a poussé plusieurs personnes à soutenir Kais Saied, considérant qu’il est incapable de changer les règles du jeu politique ; la scène politique étant monopolisée par certains partis qui convergent et divergent selon leurs positions et leurs intérêts.